Volontairement bon Petites histoires philosophiques

Volontairement bon

Petites histoires philosophiques

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Au moment de déposer son manuscrit final à l'éditeur, John White, âgé de soixante-sept ans, est décédé d'une tumeur du cerveau. Cet ouvrage constitue en quelque sorte son héritage. Destiné au grand public, ce petit livre de philosophie pratique raconte les effets néfastes de s'attarder au mal, pour souligner ensuite l'élan fondamental de l'être humain vers le bien.

L'auteur, professeur de philosophie retraité, a mêlé à des éléments philosophiques un retour sur les épisodes d'une vie bien menée, la sienne. Aujourd'hui, affirme-t-il, nous avons tendance à broyer du noir car nous faisons face à des idées reçues persistantes : l'égoïsme des uns, la paresse des autres. Se sachant atteint d'une maladie incurable, John White aurait été en droit de sombrer dans la déprime. Il a écrit plutôt un témoignage qui prône la générosité, en reconnaissant qu'il ne verra probablement pas paraître son livre.

Pour les lecteurs en quête de textes pouvant les inspirer à sortir de la pensée morose, voici un héritage à la fois spirituel et positif qui fera du bien et mettra un peu plus de lumière sur le chemin de la vie.

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Sull'autore

John White

John White est né en 1945 dans la région de Québec. Après un baccalauréat, une maîtrise et un doctorat, il a enseigné la philosophie pendant près de quarante ans au Cégep de Sainte-Foy. Il a été marié à Claire White pendant quarante-trois ans. De cette union sont nés trois enfants : Marianne, journaliste, Caroline, designer de meubles, ainsi que Patrick, éditeur et rédacteur en chef du Huffington Post Québec. Enseignant populaire, White a donné un cours qui a marqué plusieurs de ses étudiants. Grâce à son message positif et porteur de sens, il a su redonner goût à la vie à plusieurs d'entre eux. En classe, ses thèmes préférés étaient le goût du meilleur, la bonté de l'homme, l'amour et l'amitié. De nature sportive, il a pratiqué le hockey et le golf. John White était également un grand voyageur : la France, l'Italie, la Suisse (où la famille a habité un an), la Floride, New York, la Tunisie, l'Angleterre, l'Écosse, le Portugal, Israël, la Palestine, la Jordanie et l'Égypte ont été ses destinations. John White croyait à l'importance du contact avec les autres et il pensait sincèrement que l'être humain est bon. Ces valeurs, il les a partagées tout au long de sa vie, et ce, même dans l'épreuve. Durant ses derniers mois, il a rédigé un ouvrage qui traite des raisons pour lesquelles les gens voient plus le négatif que le positif autour d'eux, et dans lequel il propose des pistes de solution pour inverser cette tendance. Ce livre, Volontairement bon, donnera beaucoup d'espoir aux gens et aux jeunes du Québec. Se sachant atteint d'une maladie incurable, John White aurait été en droit de sombrer dans la déprime. Il a plutôt écrit un témoignage prônant la générosité, en reconnaissant qu'il ne verrait probablement pas paraître son livre. John White est décédé le 15 janvier 2012 des suites d'un cancer du cerveau.

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